(notes : j’achève « Chroniques martiennes » de Ray Bradbury, jamais lu ce pionnier de S.F., Je saisis sa grande réputation, Bradbury y jette du littéraire, habilement, ces très belles et ses imaginatives descriptions ( les étranges paysages sur mars) et cela sans « faire littéraire », ni cuistre, ni rien. C’est du fort et du bon.
Je lis sans cesse, rejette la télé. Ma liseuse (kindle) s’amaigrit, mon webmestre Marco va y voir.
À 6 h.p.m. ou le lendemain à midi, je m’amuse ferme à revoir à ARTV (au 28 en Laurentides) mes sketchs dramatiques pour « La petite Patrie », quelle candeur en 1945…quelle naïveté en ce temps-là. Frissons, oui, quand je revois ma mère ou mon papa mort en mai 1987, (dont je m’ennuie si souvent), le revoir vivant fantôme dans son caboulot, ce Jacques Galipeau, sosie véritable de papa.
Encore de bien noires nouvelles et toujours sanglantes (Australie, USA, Afrique, et ce Moyen-Orientaux mille misères (religieuses à las base). Et ici aussi…du sang à la une ! Brrrr…Dans mes gazettes, chaque matin, « la mort » toujours.
Quelle bonne paix, et bien peu appréciée, dans nos Laurentides ! Ce matin, encore un vacillement, eh oui, je titube (et bien à jeun ) durant un instant appuyé pourtant sur ma canne, à la porte du Boni Soir. Merde ! J’ai une neuve pataugeoire à eau chaude dans une clinique de physio et à 5 minutes de chez moi. Heureuses baignades de 45 minutes chaque fin d’aprè-midi.
Je note sur un calepin ouvert pour continuer Angela, carnet ouvert sur ma table à café, je ne faisais jamais ça (prendre des notes) quand j’étais jeune. C’est que ce nouveau récit d’auto-fiction m’énerve, une crainte bizarre car je suis bien content jusqu’ici. Mon admirateur précieux du Devoir (le critique des essais et de la non-fiction), Louis Cornellier, publiera-t-il encore : « Chef d’œuvre de Claude Jasmin », comme il l’a fait pour mon « ANITA » ? Je touche du bois…
Bon, à l’ouvrage pépère écrivailleur impénitent ! )