LUNDI PREMIER DÉCEMBRE 2014
PROPOS LIBRES sur la facturation (?) d’ANGELA
Je veux maintenant attaquer un pan du projet Angela : l’Italie et moi
Je songeais avant de débuter à bien faire savoir et voir une sorte d’attrait chez moi (mystérieux) pour l’Italie et les Italiens.
Certes il y avait le quartier voisin.
Mais…c’était très fort, j’aimais démesurément la langue italienne.
Comment insérer tout cela dans ANGELA ? me dis-je.
J’y jonglais avant même de partir le récit….
.
Ma joie d’aller, par exemple, l’été, d’assister aux messes dans la paroisse voisine italienne. La parlure. Musique à mes oreilles.
Bizarre non ? Les sermons. (Que je tentais de décoder) Du feu…parfois, des menaces : j’entendais : « peccatorés…flamma… per brularé… per éternella… in inferno et les démonés…etc.
…
Je songeais même à emmêler dans mon texte avec-sur-dans ANGELA…ce grand amour fou innocent et mes cours chez les Sulpiciens, sur ROME, sur les Césars, à ce collège de futurs prêtres…hum…
où pigewre…oùj’entendajks… : et cette affection totale pour l’ITALIE.
Parler donc de cette belle Angela et mon cours classique… quoi ! Nos traductions du latin; cette version-lecture de « DE BELLA GALLICA » du général Julius C.…hum… FOLIE ?
Comment faire ? Cela…
Je songeais à y mettre le FLAUBERT, non, c’est Stendhal je crois (voir Google vite) fou de l’Italie.
« La Duchesse de… « ou bien LE ROUGE ET LE NOIR. ( le titre?)
Comment…trouver un filon, comment raccorder tout ça avec naturel (et grâce!)…Me servir de papa et sa recherche du VATICAN sur notre vieux radio Marconi …il écoutait son cher pape parlant italien…pourtant.
Vrai que j’aimais écouter longuement =et comme en cachette des voisines italiennes (Mad Diodatti et mad. DiBlasioi) qui causaient sur leur balcon St Denis Street. Oui, une musique.
Buissonneau, mon premier employeur (aux Parcs de la Ville, La Roulotte) à 22 ans, avant la SRC, et qui vient de mourir. Merde.
Écrire un petit requiem. Retrouver mon texte de Radio-Québec.
Marco mon dévoué webmestre, va me retrouver ça, il est bon recherchiste.
De retour à tant de ces archives : déception…
et puis…NON, pas de Stendhal, (Ni Balzac, ni Flaubert) ni rien ! Pas de ses romans, et pas d’Italie littérature,,,pas de bribes de cette CHARTREUSE DE PARME. Ce récit bizarre, flou., louangé par tous de Gide, à Julien Green)
C’est trop complexe, trop écrit,
et ça n’irait pas avec cette limpidité (naïveté aussi )que je veux partout dans Angela.
Fin de cette idée d’une Italie d’auteur du 19 e siècle.
GARDER quoi
trouver quoi, de nouveaux thèmes; lieux, actions, etc.
En somme me replonger, et surtout ravoir 17 ans, ou 18 si on veut.
Je m’y frotte à la prochaine occasion.
Entendu tantôt à la radio : la mort encore, celle une ancienne du burlesque, du vieux music-hall, Murielle Millard. MA mère admirait son…chien.
Souvenir d’une visite à la maison : « Maman, j’ai passé la journée avec ta chère Millard, elle va chanter dans mes décors dimanche À Musiuc-Hall. . » Ma mère : « Chanceux, c’est un grosse vedette tu sais ! »
À y revenir…